cumulus - Accumulation de petits nuages roses.http://cumulus.cowblog.frJe ne veux pas vanter cet espace, je ne veux pas vous en faire l'éloge parce qu'il est imparfait, oui, plein de toutes mes imperfections. C'est juste un endroit où respirer, quelques pages vierges, de liberté, c'est juste un récipient aux larmes et aux sourires, aux peurs et aux frissons, aux rêves aussi, souvent. Des mots parfois fictifs, mais toujours véritables. Parce que voilà ce que je suis, voilà ce que nous sommes tous. Nous troquons la réalité contre des instants de rêves, nous cherchons l'échappatoire vers ailleurs. Ailleurs n'est pas si loin, peut-être. Peut-être que j'ai placé mon nuage assez haut pour vous faire oublier le monde, juste le temps d'une valse de mots.CowblogfrThu, 22 May 2014 13:22:18 +0200180http://cumulus.cowblog.fr/article-3243831.html*J'ai décidé d'être heureuse.

 

 

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3243831.htmlTue, 25 Jun 2013 12:05:00 +0200http://cumulus.cowblog.fr/article-3243831.html
http://cumulus.cowblog.fr/article-3236141.html*Les distances s'abattent sur nos têtes, encore et encore. Et encore.
Sans répit.
Elles troquent l'amour contre la lutte, la hargne, le silence. Inexpliqués, incontrôlés.
Un coup de couteau dans l'abdomen, six, treize.
S'entretuer. Quand le coupable est quelqu'un d'autre.
Un fossé. Une crevasse sous la peau, qui me crève.
Je ne sais plus t'aimer de si loin.
Qui peut imaginer ?
Je n'ai plus rien pour sourire, je cherche. Je ne te trouve nulle part.
C'était toi ma fontaine à bonheur. C'était toi ma pluie d'étoiles.
On pourrait être si beaux.
Dos à dos, encore, et chaque parcelle de moi me brûle.
Je voudrais m'évaporer. Devenir bulle, goutte, grain de sable, atome d'oxygène; petite, toute petite, invisible.
Cesser d'étouffer.


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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3236141.htmlWed, 10 Apr 2013 21:53:00 +0200http://cumulus.cowblog.fr/article-3236141.html
http://cumulus.cowblog.fr/comme-ces-jours-ou-tu-sors-de-chez-toi-et-l-hiver-est-fini-alessandro-baricco-3232857.html"Comme ces jours où tu sors de chez toi, et l'hiver est fini." Alessandro Baricco http://cumulus.cowblog.fr/images/abbraccio.jpg

Tu arrives et chasses l'hiver.
Dehors, soudain, la grisaille fait place au soleil,
Dedans aussi.
Le vent n'est plus glacial, il est soie, il rafraichit,
Il glisse sur moi et me fait sentir des parcelles insoupçonnées de mon corps.
Toi aussi.
J'étais anesthésiée avant toi; maintenant je ressens les choses.
Avec toi je n'ai plus peur de vivre.
Je n'ai plus peur d'être moi et je n'ai plus peur d'être à quelqu'un d'autre,
Je n'ai plus peur d'une peau étrangère contre ma peau,
Tu n'es plus étranger, je t'ai donné un peu de moi,
Tu m'as donné un peu de toi.
Nous nous sommes mélangés, mille fois.
Tu me serres contre toi, je m'infiltre sous ta peau,
C'est un voyage,
Et je retrouve mon souffle de vie.
Tu me serres et je refleuris.

Tu es mon printemps.

 

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3232857.htmlMon, 04 Mar 2013 21:59:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/comme-ces-jours-ou-tu-sors-de-chez-toi-et-l-hiver-est-fini-alessandro-baricco-3232857.html
http://cumulus.cowblog.fr/ecouter-c-est-etre-pret-a-se-transformer-plutarque-3232044.html"Ecouter, c'est être prêt à se transformer." PlutarqueIl y a quelques temps, j'ai participé à une formation à l'écoute, en parallèle de mon bénévolat auprès des enfants hospitalisés en onco-pédiatrie. Un week-end où l'on nous a montré la place du silence et l'importance de chaque mot. Où l'on a abattu les phrases bateau et inutiles que tout le monde répète à longueur de journée, du type "ça va aller, ce n'est pas si grave" : non ça ne va pas, et si je trouve que ce que je vis est grave, alors c'est que ça l'est. Que ce soit pour une peine de coeur, un examen raté, ou la perte d'un être cher. Pas de hiérarchie de la douleur.
Ne pas minimiser la souffrance des gens, ni la potentialiser. Ne pas faire de diversion. Ne pas juger, ni par des critiques, ni même par des compliments. Ne pas faire d'enquête sur les faits qui ont eu lieu, sur les raisons qui ont fait que, ne pas chercher à expliquer le pourquoi du comment ou justifier tel ou tel comportement. Être disponible et rester centré sur la personne et ses émotions. Ne pas interdire l'expression de la souffrance, l'inciter à se plaindre, avoir de la considération pour ce qu'elle ressent.
Pas si facile que ça, l'écoute, surtout quand on arrive à la pratique.
Et puis, exercice tout aussi difficile que l'écoute de l'autre.. l'écoute de soi. L'animateur nous a proposé un portrait chinois, que je vous invite aujourd'hui à faire à votre tour - un peu parce que je suis curieuse, et un peu parce que chaque personne est une richesse. La difficulté est qu'il ne faut pas répondre par les choses que l'on préfère dans la vie, mais par celles qui nous ressemblent. Et pas par celles qui ressemblent à la personne que l'on montre aux autres, mais à celle que l'on est réellement, profondément.
Pas une personne du groupe n'a trouvé l'exercice aisé. Et il l'était d'autant moins que nous devions ensuite mettre la pudeur de côté pour nous mettre littéralement à nu devant des personnes que nous serions amenés à rencontrer à nouveau, en disant tout haut et justifiant chacune de nos réponses. On se rend compte que l'on ne se connaît pas si bien que ça, que l'on ne s'écoute pas assez, finalement. Alors.. Alors, bonne quête de vous ? :)

Si vous étiez ...
... Que seriez-vous ?
(et ne trichez pas en regardant mes réponses avant d'avoir donné les autres, non mais! :).)

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3232044.htmlTue, 26 Feb 2013 00:29:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/ecouter-c-est-etre-pret-a-se-transformer-plutarque-3232044.html
http://cumulus.cowblog.fr/les-dos-sont-les-vrais-visages-des-gens-ce-sont-les-visages-qu-ils-ne-pensent-pas-a-cacher-ce-sont-leur-visage-quand-ils-nous-quittent-quand-ils-s-eloignent-de-nous-bobin-3230387.html"Les dos sont les vrais visages des gens, ce sont les visages qu'ils ne pensent pas à cacher, ce sont leur visage quand ils nous quittent, quand ils s'éloignent de nous." Bobinhttp://cumulus.cowblog.fr/images/walle.png

 

Ma Saint Valentin à moi, c'est à chaque fois qu'à l'aéroport, j'attends, le coeur battant, de reconnaître ton visage parmi tous ces visages. Alors, c'est aussi un peu Noël, un peu le premier jour du Printemps, un peu le premier bain de l'été. À chaque fois, un premier baiser.

Et c'est vrai que le quatorze février est un jour comme un autre. Mais il y a ce garçon dans le tram avec un bouquet de fleurs qui dépasse de son sac et qu'il observe en coin en se demandant s'il a bien choisi, si ce sera à son goût, si elle se sentira comblée; et cette jeune fille sur ses talons, bien apprêtée, ces couples tous neufs ou plus anciens, qui se tiennent par la main et ont les yeux en forme de coeur. Aujourd'hui on célèbre l'amour, on en parle partout, à la radio, à la fac, à la télé, dans les mails, dans les vitrines, et les baisers des gens en parlent, et leurs caresses. Et tout cet amour omniprésent, démontré publiquement, m'enfonce ton absence sous la peau. Piqûre de rappel. Oui, le quatorze février est un jour comme un autre, et tu n'étais pas là hier pour m'aimer, et tu n'es pas là aujourd'hui non plus. (et même encore moins que d'habitude.)

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3230387.htmlThu, 14 Feb 2013 22:11:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/les-dos-sont-les-vrais-visages-des-gens-ce-sont-les-visages-qu-ils-ne-pensent-pas-a-cacher-ce-sont-leur-visage-quand-ils-nous-quittent-quand-ils-s-eloignent-de-nous-bobin-3230387.html
http://cumulus.cowblog.fr/propagande-time-3229671.htmlPropagande-Time.Article hors-sujet complet, pour faire connaître ce site-là : Crazy Postmen, un site où un hasard "orienté" permet de faire de jolies rencontres, de s'éloigner du superficiel et de rechercher la personnalité des autres à travers les mots, d'échanger des idées, de s'enrichir de l'altérité de l'autre. Le concept est expliqué sur le lien. La création d'un profil est gratuite et dure environ trente secondes. Essayez, et si vous aimez, diffusez. :).

With love,
<3

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3229671.htmlThu, 07 Feb 2013 20:22:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/propagande-time-3229671.html
http://cumulus.cowblog.fr/le-bonheur-ce-n-est-pas-une-note-separee-c-est-la-joie-que-deux-notes-ont-a-rebondir-l-une-contre-l-autre-3229668.html"Le bonheur, ce n'est pas une note séparée, c'est la joie que deux notes ont à rebondir l'une contre l'autre."Tu sais ton absence, c'est comme le vide à la place du sapin que l'on vient de déshabiller et de jeter dehors. C'est comme le désert. C'est comme le pôle nord pour un Africain. Tu sais, ta valise ressemble à un carton de déménagement. Tu désertes les pièces une à une, tu reprends ce qui t'appartient mais tu as laissé tes épines tomber dans mon monde, tes poussières de magie, tu as envahi la moquette, les canapés, les couvertures, le placard à biscuits et le supermarché. Tu es là, partout, dans le réfrigérateur, dans le micro-ondes, sur les touches du piano, appendu aux cintres, au fond de l'évier. Tout contre moi. Partout, tu as semé ton amour, non biodégradable. Puis tu es parti, et c'était comme éteindre la lumière, c'était comme après un feu d'artifices, c'était comme une coupure de courant. Noir, silence, froid. Sourire hors-service. Tu sais, ton absence m'habite et me colle à la peau, elle m'accompagne en permanence, se substitue à toi, tente de te remplacer et de combler les vides. Elle me laisse des morceaux de toi; je marche et tu passes ta main dans mes cheveux, j'écris et tes yeux me fixent sans relâche, souriants, je pleure et tes bras me serrent très fort, je fais la vaisselle et ils viennent s'emmêler autour de ma taille, je me réveille et tu viens m'embrasser tendrement. Ma vie est structurée par nos souvenirs, je suis une sorte de thermos, tu me remplis d'amour, tu t'en vas, mais ta douceur reste encore un moment, et m'enveloppe. Tu es là, oui, même quand tu n'y es pas. Tu bats la pulsation à l'intérieur de moi.

 

 

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3229668.htmlThu, 07 Feb 2013 19:57:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/le-bonheur-ce-n-est-pas-une-note-separee-c-est-la-joie-que-deux-notes-ont-a-rebondir-l-une-contre-l-autre-3229668.html
http://cumulus.cowblog.fr/des-ballons-gonfles-a-l-helium-dans-mon-salon-et-dans-mon-coeur-traces-de-bonheur-3224204.htmlDes ballons gonflés à l'hélium dans mon salon et dans mon coeur ; traces de bonheur.Des vacances rapides comme l'éclair, un grand-père de plus en plus jeune avec les années, une fratrie réunie, l'aéroport pour venir te chercher toute seule en voiture pour la première fois et les déboires au retour dus à un piètre sens de l'orientation, du bonheur presque consistant, presque palpable, un poème de papa où se fraie un je t'aime, un des premiers, les vannes aux larmes qu'on ne sait plus tenir fermées, alors mon amoureux qui me sert par la taille sans parler, juste pour me dire, pour me dire tant de choses qui ne se disent même pas, vingt cadeaux, et ce n'est même pas ça qui compte, c'est eux, autour de la table, qui trinquent à la vie, qui m'enveloppent de chaleur, de tendresse, de choses tellement douces. Des milliers de ti amo murmurés dans l'oreille, sur la peau, sur les lèvres, des baisers qui nous laissent encore affamés d'amour. Des matins, des soirs, des réveils au chocolat. Les jours qui filent un peu trop vite et qu'on laisse fondre sous la langue pour en garder la saveur plus longtemps. Ton odeur. Tes doigts sur ma nuque. Notre peau à peau que je recherche perpétuellement. Nous deux sur la piste de danse la veille de ton départ, jusqu'au bout de la nuit, et toi qui me regardes comme si tu venais à peine de tomber amoureux. Une cinquantaine de personnes réunies pour moi qui tournent et rient et dansent, le bonheur qui percute le bonheur et rebondit indéfiniment, infatigable. Et doucement c'est la fin, doucement c'est l'heure de dire au revoir, merci, à la famille, aux amis, et à toi mon amour, prêt à t'envoler à nouveau. Le seul avantage que j'y trouve, c'est que la prochaine fois que tu reviendras, tu m'envoleras à mon tour sur tes ailes, très, très haut.

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Et comment supporter les heures, maintenant que tu es parti ?

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3224204.htmlSun, 06 Jan 2013 23:36:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/des-ballons-gonfles-a-l-helium-dans-mon-salon-et-dans-mon-coeur-traces-de-bonheur-3224204.html
http://cumulus.cowblog.fr/je-crois-que-je-ne-sortirai-pas-indemne-de-toi-3222715.htmlJe crois que je ne sortirai pas indemne de toi.http://cumulus.cowblog.fr/images/44611465056106889863860418390nlarge.jpgDemain,
je retrouverai la pièce manquante de mon puzzle,
tu viendras te coller tout contre moi et obturer toutes mes fissures.
Sur la pointe des pieds
j'irai jusqu'à tes lèvres,
je glisserai dans leur commissure
les choses les plus tendres,
m'y fraierai un passage
pour te livrer l'intégralité de mon amour.
Tu seras comme une grosse écharpe en laine
douce
dans laquelle on s'emmitoufle,
tu seras comme un feu de cheminée;
réchauffe, éclaire, rassure.
Tu seras mon alcôve,
mon abri pour la nuit-pour la vie.
En secret,
nos mains
nos joues
nos yeux
feront déjà l'amour,
aussi silencieux que des pas dans la neige,
aussi intimes qu'un rêve.
Je serai plume, prête à m'envoler, à quitter la terre ferme,
pour amarrer dans notre monde à nous,
sur notre planète en-dehors du système solaire,
notre jolie étoile en briques de promesses.
Demain ton altérité viendra à ma rencontre
me restituer temporairement mon intégrité.
Me donner un sursis d'amour.

Au sein de ma poitrine, j'aurai ton cœur qui bat.

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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3222715.htmlWed, 26 Dec 2012 02:03:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/je-crois-que-je-ne-sortirai-pas-indemne-de-toi-3222715.html
http://cumulus.cowblog.fr/per-aspera-ad-astra-des-sentiers-ardus-jusqu-aux-etoiles-3222709.htmlPer aspera ad astra. ("des sentiers ardus jusqu'aux étoiles")Noël c'est du coton dans le coeur. C'est une tempête de douceur. C'est les rires qui débordent de partout, les kilomètres d'amour que l'on ne sait plus trop où ranger; plus de place sous le sapin. Des couleurs, de la lumière, des guirlandes autour du cou. Ca brille encore après, quand on a tout éteint et qu'on va se coucher. Ca brille sous nos paupières closes. Des paillettes, mais pas d'artifices. C'est juste le bonheur d'être ensemble, qui nous remplit de quelque chose de particulier, d'absolument sincère et de tout à fait irremplaçable. Et on sait très bien, on sait très bien que ça ne durera pas toujours, que c'est éphémère. Aussi éphémère qu'une bulle de savon. Aussi léger. Aussi fragile. Ca ne durera pas et c'est bien pour ça qu'on étreint si fort l'instant, qu'on essaie de le faire perdurer le plus longtemps possible, de grappiller quelques minutes par-ci, par-là. On cherche à ressentir les choses, le relief du moment présent, sa texture, sa saveur, l'impression que ça nous fait sur la peau, la chaleur, la mélodie de l'orchestre des coeurs. C'est parce que c'est si rare que ça a cette intensité, cette valeur. On s'attarde et on oublie ce qui compte si peu autour, ces futilités auxquelles on a donné une importance démesurée au fil des années, à tort. Se tordre de rire. Ce qui compte en réalité, c'est les étincelles dans les yeux de ceux que l'on aime. Ce qui compte, c'est le rire de papa. C'est l'énergie que met maman dans chaque geste pour que tout soit parfait. C'est nonno qui a fait le déplacement et qui te raconte encore des histoires déjà narrées mille fois, dans sa langue qui n'appartient qu'à lui, ni vraiment français, ni vraiment italien. Et la tendresse. C'est notre fratrie, nos regards complices, notre passé commun, ce lien indestructible qui demeureraient même au bout du monde. Ce qui compte ce sont les parties de tarot, que l'on perde où que l'on gagne, tant que l'on rit. Tant que l'on est ensemble. Ensemble. Alors on oublie les ratures, les pages froissées ou déchirées, on oublie les faux pas, les fausses donnes, les choses un peu bancales, on oublie les cris, les silences, les distances, les angoisses. On garde le meilleur, on garde le bonheur. Cette plénitude, cette certitude que la vie, elle est là, juste là, devant nous, la vie c'est maintenant, cette sensation que c'est ici que nous sommes entiers, que nous sommes exacts, juste là où il faut, là où l'on a besoin de nous, là où se trouve tout ce dont on a besoin pour vivre.

http://cumulus.cowblog.fr/images/tumblrmflopkbvVp1rihn9ho1400thumb-copie-1.jpghttp://cumulus.cowblog.fr/images/tumblrlvyxae8Xwp1r73s65o1500large.jpghttp://cumulus.cowblog.fr/images/tumblrlcdooitZ5l1qbv4sdo1500large.jpghttp://cumulus.cowblog.fr/images/5487454587317675087791840154290nlarge.jpghttp://cumulus.cowblog.fr/images/382899458746244173998917800841nlarge.jpg


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http://cumulus.cowblog.fr/commentaires-3222709.htmlTue, 25 Dec 2012 23:34:00 +0100http://cumulus.cowblog.fr/per-aspera-ad-astra-des-sentiers-ardus-jusqu-aux-etoiles-3222709.html