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Comme quand, avec la douceur que l'on n'accorde d'habitude qu'aux enfants, tu remontais jusqu'à mon cou les couvertures en pleine nuit, par peur que je n'aie froid. Comme quand je mourrais de chaud, mais je te laissais faire. Les souvenirs débordent de mon coeur. De mes yeux. J'ai peur d'oublier ton odeur. Je ne sais toujours pas vivre sans toi, je sais même de moins en moins.
Lundi 21 mars 2011 à 7:52
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