L'un contre l'autre.
Que serai-je après toi ?

J'ai bien peur de ne plus savoir parler que d'amour.
Tu me suis nuit et jour, où que j'aille, quoi que je fasse.
Et ton absence est si proche de moi.





Sinon, J-42._____________________________"Le stelle cadono, piano piano.." ( Ettore Giuradei. )

Samedi 24 mai 2008 à 14:45

Par Estelle. le Mardi 27 mai 2008 à 12:12
On est mardi mardi mardi, tu passes ton examen aujourd'hui. Et j'ai simplement envie de te dire que je pense à toi Karolyne. Je pense à toi, tellement fort. Tu sais, je crois en toi, je sais que tu peux le réussir. Et puis la musique, ça se vit n'est-ce pas? Tu vis, tu sens, tu ris, tu pleures avec ton piano. Toute une succession d'émotions, toutes plus fortes que les autres. Tu l'aimes, ton piano, ça se sent quand tu en parles. Ton amour, ta rage... :)

Je pense à toi Caroline.
Simplement envie de te le faire savoir. Et puis oui, tu sais, vingt jours sans nouvelles, ce fut long. J'avais simplement envie de savoir que ça allait, que tu allais bien. Que tu vivais, à deux cent à l'heure. Simplement envie de te dire que je suis là. Que chaque jour, je pense à toi. Avec le sourire, souvent. Oh oui, je pense à toi. Ti voglio bene...
Par Estelle. le Mardi 27 mai 2008 à 12:14
Et ces étoiles, ces étoiles qui tombent, garde-les... Bien précieusement :) Elles valent tellement...
Par Estelle. le Mardi 27 mai 2008 à 18:54
J'étais sur un autre ordinateur ce midi, je ne pouvais pas lire la vidéo, je la découvre ce soir, et mon dieu, mon dieu qu'elle est magnifique. Je crois que c'est toi qui joues? Je crois, je ne suis pas sûre... Qu'est-ce que cette chanson est belle, et qu'est-ce qu'elle me plait... Qu'est-ce qu'elle me plaît Caroline. Tu sais, je ne veux pas que tu pleures, je ne veux pas que tu penses que tu as sali la musique, je ne t'ai jamais entendue chanter. Pourtant, je crois que j'aimerais bien. Je ne t'ai jamais entendue chanter, mais je suis persuadée, je suis persuadée que tu n'as jamais, ô grand jamais, sali la musique. Je voudrais bien t'expliquer, t'expliquer pourquoi, comment, je suis persuadée... Je ne suis pas sûre d'y arriver tu sais, à vrai dire, je n'y arrive pas du tout. Et ça me chagrine un peu, je voudrais t'expliquer. Je ne veux pas que tu penses des choses fausses comme celles-ci, je ne veux pas que tu les penses Caroline... Je ne veux pas que tu pleures en pensant que tu as sali la musique, car, car c'est faux. Et que c'est bête de pleurer pour des choses que l'on croit fausses, alors que ces choses sont autres. Tu sais, je viens de me rendre compte que j'avais déclenché la vidéo et la chanson de l'article précédent, en même temps. C'était peut-être pour ça, que c'était si beau. L'un sans l'autre, ils perdent de leur beauté, je ne saurais pas trop t'expliquer pourquoi, mais je sais qu'ils sont plus beaux, tous les deux, ensemble. Ça fait trois fois que je les remets au début, j'en deviens presque accro. Tu sais, j'espère que tu passeras ici ce soir, j'espère que tu me croiras. Je voudrais avoir ton numéro de téléphone, pour te dire de penser. Pour que tu arrêtes, pour que tu arrêtes le plus vite possible, de penser toutes ces choses... Caroline, crois-moi. Caroline... Je t'embrasse bien fort, et oui, je t'en veux du bien, je t'en veux. Si tu savais...
Par Estelle. le Mardi 27 mai 2008 à 18:58
Tout ça peut paraître irréel ou je ne sais quoi encore, on en a déjà parlé... Le virtuel, le net, toutes ces choses là. Tu sais, je suis là Caroline, peut-être un peu loin, mais je suis là. Je suis là si tu as besoin, si tu veux parler, partager. Tu me disais dans ta dernière lettre de ne pas t'épargner, et je crois que, je pourrais te le retourner. Ne m'épargne pas. Je t'en prie, ne t'épargne pas. Pour moi, tu n'es pas comme les autres, tu es Caroline, et. Ce n'est pas rien. J'ai un peu peur de développer, un peu peur de me dévoiler, je crois. Je crois que je tiens à toi, et que c'est pour ça, que je n'aime pas. Je n'aime pas quand tu pleures pour des choses fausses, je n'aime pas savoir que tu pleures. Et me sentir un peu impuissante, avec mon clavier et mon écran. De simples mots, je ne sais pas si ils réussiront à te faire sourire, à te faire du bien, ne serait-ce qu'un peu. Je ne sais pas si ils réussiront quoi que ce soit, ni même s'ils prouveront que oui, je suis bien là. Je ne sais pas. Mais je suppose que, j'envoie quand même?
Par Estelle. le Mardi 27 mai 2008 à 18:59
Et je tape tellement vite parfois, c'est quand les pensées s'emmêlent, quand c'est plus fort que moi, que j'ai cette impression de ne plus contrôler mes mots, je vois les chiffres qui diminuent, tout doucement, un par un, lettre par lettre. Et, pfiou.

<3
Par Estelle. le Mardi 27 mai 2008 à 21:18
Et je suis toujours là, je suis toujours là. Même un peu plus tard, merci pour tes mots à toi, pour ta vision du noir & blanc et toutes ces choses. Moi, je ne la trouve pas très belle cette photo. Il paraît que je ne suis pas très objective, parce que c'est moi qui l'ai prise. Cette photo n'est pas très belle, mais elle représente beaucoup pour moi, un instant de solitude savouré. Et puis, ce n'était pas vraiment de la solitude, oui j'étais seule, mais c'était autre chose. J'avais mon appareil autour du cou. Cette photo représente beaucoup... Un moment, un souvenir ; que je suis seule à connaître, mais que je garde quand même. Je ne sais pas bien pourquoi je te dis tout ça à toi, j'ai envie, je crois. Envie. Et c'est déjà beaucoup, comme d'y croire... :)
Par Estelle. le Lundi 2 juin 2008 à 20:22
J'ai envie de prendre de tes nouvelles, j'ai envie d'en recevoir. Il faut que je réponde à ta lettre, tout un tas de choses à te raconter. Dis, Karolyne, si tu ne sais que parler d'amour, ça ne fait rien., bien au contraire. Dis, Karolyne, tu veux bien, tu veux bien m'en parler? Me raconter de jolies histoires... Ou des moins jolies, mais me raconter des histoires... J'espère que tu vas bien, j'espère j'espère j'espère!

Je t'embrasse bien fort.
Par Estelle. le Mardi 3 juin 2008 à 16:54
Tu sais, je crois qu'à toi, je peux le dire, je ne suis pas vraiment heureuse. Il me manque encore quelque chose, pour l'être. Tu me prendras peut-être pour une éternelle insatisfaite... Ai-je le droit de t'assurer le contraire? Je ne sais pas... Je ne suis pas entièrement heureuse, mais bientôt; je crois. Je crois que ça viendra bientôt. Je ne suis pas vraiment heureuse, mais je souris malgré tout. Je souris. Et c'est ce qui trompe les gens. Je souris. Et je n'ai jamais cessé de sourire ces derniers mois. Je n'ai jamais voulu cesser de sourire. C'était comme une arme, comme un bouclier. Sourire. Sourire même au fond du trou, sourire quand je pleure, parce que j'ai l'air affreusement ridicule quand je pleure. Sourire, comme une force. Ou c'est du moins ce dont je voulais me persuader... Aujourd'hui encore, je souris. Le sourire est devenu un peu moins difficile, et c'est peut-être pour ça que certains le qualifient de "plus vrai". Mais tu sais Karolyne, chacun de mes sourires était vrai. J'apporte tellement d'importance à toutes ces choses là, tu sais, la sincérité, la vérité. Celle dont tu ne voulais pas être épargnée... J'accorde tellement d'importance à toutes ces choses-là, aux sentiments, émotions et j'en passe... Peut-être que je devrais en accorder moins, je ne sais pas trop. Mais j'aime ça, j'aime aimer. Oui, exactement, j'aime aimer. Tu ne te trompes pas, c'est bien l'amour. C'est bien l'amour qui germe, c'est bien lui. On l'a semé il y a bien longtemps, insconsciemment peut-être, je ne saurais pas trop te dire. Mais il est là, à l'heure d'aujourd'hui. Et bien là.
Par Estelle. le Mardi 3 juin 2008 à 17:15
C'est idiot, j'essaie de raconter, mais je n'y arrive pas. Je ne trouve pas les mots. Je suis raide dingue amoureuse, ça fait bien trop cliché n'est-ce pas? Pourtant, je crois que j'ai endossé ce rôle d'amoureuse transie. Je l'aime, mon dieu, comme je l'aime. Je voudrais bien réussir à l'expliquer. Mais oui, il y a tous ces clichés, cette foutue peur du jugement, aussi. Alors. Alors souvent, ça reste là, ça ne sort pas. Ou alors seulement avec lui. Je parle en mystères, je crois. Je ne sais pas faire autrement, c'est indescriptible, cet amour. Celui que j'ai pour lui, celui qu'il a pour moi, aussi... J'ai envie de le croire, lorsqu'il me dit qu'il m'aime. Non, je le crois. Je le crois. J'ai peur qu'il s'en aille, j'ai peur du sans lui. Je ne veux pas vivre sans lui, je ne peux pas vivre sans lui. J'ai peur qu'il trouve quelqu'un d'autre, quelqu'un de mieux, de plus proche, quelqu'un d'autre... Tu sais, il mérite mieux que moi. Quelqu'un qui sache aimer, quelqu'un qui soit à la hauteur, à sa hauteur. Je l'aime tellement... Mais tu sais, je crois qu'il mérite quelqu'un de mieux. Je crois qu'il sera plus heureux avec quelqu'un d'autre. Je ne suis pas la hauteur, je ne suis pas la hauteur... J'aime l'entendre parler et l'écouter pendant des heures. Il est loin, tellement loin. Et il me manque. Douleur distance, encore... :) Je voudrais bien être magicienne, des fois. Anéantir tout ça. Je voudrais sauter dans le premier train, le rejoindre. Idiot, n'est-ce pas? Je pense à lui, à chaque fois que je passe près de la gare. J'ai envie de me jeter dans ses bras, de me serrer contre lui. L'un contre l'autre, comme tu dis si bien... Jolie guerre que celle de l'amour... Jolie guerre, mais tellement dangereuse... Tellement dangereuse... J'ai décidé d'accepter, qu'il faille prendre des risques. Prendre le risque de le voir partir, de souffrir et d'en crever. Prendre le risque. Il me manque. Il me manque. Il me manque.
Par Estelle. le Mardi 3 juin 2008 à 17:26
Je voudrais t'expliquer, mais oui, j'ai peur de relire ce que j'ai écrit avant. Peur d'avoir l'air bien niaise. Mais putain, qu'est-ce que je l'aime... Je veux tout lui donner, construire, construire, construire. Je veux que ça dure. Je veux tout lui donner, le faire passer avant moi. Je veux prendre soin de lui, et qu'il prenne soin de moi, aussi... Qu'il me protège, qu'on se protège. A deux, on est plus forts. On la connaît, celle là. On la connaît. Le grand amour, c'est tout à fait ça... Je me suis longtemps demandée quand est-ce qu'il me tomberait dessus. J'ai même douté qu'il existe, toujours eu ce besoin, je crois, ce besoin, de vérifier par moi même, pour y croire. Y croire entièrement. Il est tellement loin, souvent, je hais ces kilomètres, je hais cette distance. Ses bras me manquent, son cou, ses yeux, ses lèvres, tout. Tout me manque chez lui. J'attends le soir avec une certaine impatience, lui parler. Ou même, ne rien dire. Mais être ensemble. Être ensemble. Et nos silences en disent tellement eux-aussi. Nos silences sont parfois des cris, des cris d'amour, nos silences veulent parfois tout dire. Ils hurlent JE T'AIME. Et puis, qu'est-ce que j'ai l'air bête, à essayer d'expliquer, de mettre des mots sur tout ça. Qu'est-ce que j'ai l'air bête... Et pourtant, j'y passe un temps fou. J'écris sans relâche, mes carnets se remplissent, les lettres à destination de.. se succèdent. Une façon d'être plus proche de lui, je crois. C'est idiot, ça l'est toujours oui, essayer d'expliquer l'inexplicable. Je suis idiote, je suis amoureuse. Des mois, que ça ne m'était pas arrivé. Des mois. Un jour, il y a des choses que je t'expliquerai, si j'ai le courage. Le courage d'affronter cette peur, que tu partes, toi aussi. A cause de ça, de ce que je pourrais te raconter, qui pourrait te faire peur. Et, et, et.

<3
Par Estelle. le Mardi 3 juin 2008 à 17:27
(J'ai relu le début, QU'EST-CE QUE JE SUIS RIDICULE!)
Par Estelle. le Mardi 3 juin 2008 à 17:40
Oui, ce que j'ai l'air ridicule. C'est peut-être pour ça, cette pudeur. J'ai du mal, à parler de lui. Et pourtant, j'ai envie de parler de lui. Je pourrais parler de lui pendant des heures et des heures, sans relâche, en trouvant toujours quelque chose de nouveau, à raconter. Mais je n'y arrive pas. Je ne sais pas si c'est de la pudeur, ou autre chose. Mais j'ai du mal. Je n'ai pas les mots tu vois. Tu vois, je ne suis pas une grande écrivaine, comme tu disais dans ta dernière lettre... Pas même une petite. Non, je ne suis pas écrivaine, je ne sais pas écrire. Mais pourtant, j'ai ce besoin. De poser des mots, ici et là. J'écris tous les jours, c'est.. vital. (J'ai l'air bête ici aussi?)

Karolyne, tu sais, j'ai envie de te voir. (JE SUIS BÊTE, le retour! :) J'ai envie de te voir. Ça ne se fait pas de dire ça, mais tant pis. J'ai envie de te voir. Quand, je ne sais pas. Où, je ne sais pas non plus. Mais j'ai envie de te voir, un jour. Peu importe quand, mais un jour. J'ai envie de te voir, oui, c'est idiot, mais c'est bien là. Ça aussi. J'ai envie d'avoir des souvenirs avec toi, je sais qu'on en a déjà. Mais je sais aussi, que j'en veux encore. C'est idiot hein, de dire ça ici, maintenant, et puis comme ça, avec mes mots. C'est un peu maladroit, mal tourné. Mais je crois, je crois que c'est sincère...
Par Estelle. le Mardi 3 juin 2008 à 18:10
Non, je ne crois pas que ça l'est. Ça l'est seulement.

Je passe en Première L l'année prochaine, mon orientation aura été difficile. Je passe en Première L, je crois que je suis fière, d'aller en L. Parce que je me serai battue, pour y aller. Que ma mère aura tout fait, pour que je change d'avis. S, d'abord, la voie royale. Et puis, ils ont tous fait S, dans ma famille. Alors, c'était un peu comme une "tradition" (ce que j'ai l'air con à dire ça)(Pardonne moi, le gros mot, et puis le reste, tout ce que j'ai pu écrire aujourd'hui, tout ce tas d'imbécilités, car oui, je suis vraiment bête) Faire comme les autres, c'est toujours plus facile. Mais moi, je ne pouvais pas. Je ne pourrais pas, faire de la physique, des maths et de la svt à longueur de journées, j'ai besoin d'autre chose... J'ai besoin des mots... J'ai envie de mots. (Bécasse, j'ai l'air d'une bécasse à dire ça comme ça, mais, c'est pourtant vrai...) Mais tu sais comme moi la mauvaise réputition qu'a la filière L... Alors ma mère a essayé de me pousser vers ES, l'économie, le monde, l'actualité... Oui, mais je crois que ce n'est pas pour moi. L, non plus, d'ailleurs... Mais je crois que ça ne m'aurait pas plu. Ma mère, ma mère a eu du mal à comprendre ça. Et je crois qu'elle en a encore. J'ai envie de réussir tu sais, pour lui prouver que j'ai fait le bon choix. Pour me le prouver, à moi aussi. Je n'étais pas sûre de moi, je n'étais pas sûre de moi. Je ne le suis toujours pas. J'ai longtemps hésité. Mais j'ai choisi, j'ai choisi. C'est là bas, que je veux aller. J'espère avoir fait le bon choix, je doute parfois, souvent. Mais je me dis, je me dis que je verrai. Que ça ne sert à rien, de s'inquiéter maintenant. Et toi? Toi, je crois que tu vas faire S, je sais que tu veux faire médecine, devenir pédiatre. Alors je crois que S, s'imposait.. :) A moins que je ne me trompe. Dis moi, dis moi... Tu sais, avant, avant, moi aussi, je voulais devenir pédiatre.. :)
Par Estelle. le Mardi 3 juin 2008 à 18:15
J'ai l'impression d'avoir dit n'importe quoi, n'importe comment, depuis le début... Je te demande pardon Karolyne, je te demande pardon... Tu sais, vides ou pas, je les aime tes commentaires, et je crois que je les aimerai toujours, simplement parce que je t'aime toi.
Par Estelle. le Mercredi 4 juin 2008 à 20:13
Nous sommes mercredi, jai pensé à toi toute la journée... J'ai pensé à la lettre, qui n'arriverait pas à temps. J'ai pensé à toi, à lui, aussi. Tu sais, je crois que je ne le comprends pas. Je ne comprends pas la façon dont il agit avec toi. Cette façon de te dire "à dans quatre semaines". Alors qu'il sait... Enfin, je crois qu'il sait... Je ne le comprends pas. Tu sais Karolyne, tu mérites qu'on prenne soin de toi. Malheureusement, tout n'est pas qu'une question de mérite dans ce monde...

Nous sommes mercredi, et je t'embrasse bien fort.
Par Estelle. le Dimanche 8 juin 2008 à 20:46
J'ai envie de t'écrire, te répondre. Le temps passe beaucoup trop vite, j'ai une drôle d'impression. Je ne me sens pas très bien ce soir, je ne sais pas trop pourquoi. J'ai envie de t'écrire, simplement. Je tapote doucement, et pour cause, je fraude. J'ai fait lire ta nouvelle à mon amoureux, jeudi, je crois. Il a dit que tu écrivais bien, très bien même. Il voulait l'adresse de ton blog, mais je n'ai pas pu, je ne peux toujours pas. Il y a trop de moi, dans ces commentaires. Cette correspondance via blog, je ne l'échangerai contre rien au monde, j'aurais trop peur d'abîmer quelque chose. Trop peur de gâcher. Gâcher quoi? Je ne sais pas, mais gâcher... Et on gâche tellement de choses de nos jours, oh oui, j'en ai gâché tellement, des choses, des amitiés... J'en ai gâché tellement. Je ne veux pas gâcher celle que j'ai avec toi. Karolyne, je voudrais te dire que je ne fais pas de différence, entre "le virtuel" et "le réel". Je te l'ai déjà dit, tu fais partie de mon réel, tu es mon amie. Je suis la même ici et là bas, je suis la même. Je sais que beaucoup "se changent", se donnent une image. Après tout, c'est tellement facile, de ne montrer que ce que l'on veut montrer. De ne pas être soi-même, de s'inventer un personnage et de jouer, perpétuellement, un rôle. C'est tellement facile, mais la facilité enlève parfois du goût aux choses. Un peu comme ton bonheur avec des malheurs, des chagrins. Tu sais, j'ai toujours refusé de dire que j'étais malheureuse. Même au plus bas, même lorsque ça n'allait vraiment pas. J'ai toujours refusé ce mot "malheureuse". Il paraît pourtant, que je l'étais. Mais, j'ai toujours refusé. Et je crois que je refuserai toujours. J'ai l'impression de dire un peu n'importe quoi en ce moment, j'ai du mal à décrire, trop de mal... Mes mots, je les trouve laids. Affreusement laids.
Par bunny le Mardi 24 juin 2008 à 22:48
Merci beaucoup pour tous les gentils commentaires que tu as laissé sur mon blog =)
Je trouve ton blog magnifique et me reconnais parfaitement dans ton univers, et je suis donc flattée que tu ai trouvé un quelconque interet au mien .

Que dire ? Ce que tu dis le touche car c'est tout à fait réaliste, et je crois que tu as compris dans quelle situation je me trouvais par rapport à " Lui " au travers de mes textes, c'est en tout cas ce que j'ai ressenti en lisant tes commentaires .

Bref . Merci =D
Par Kyra le Vendredi 15 octobre 2010 à 12:44
L'amour, l'absence. L'absence de cet amour peut détruire. Toujours. Il est là. Mais en fait, non. C'est avec cette absence que nous vivons. Jusqu'à sa prochaine présence.
 

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